The Kennedys » Guide de Série

	Épisode 1 Les Kennedys se rassemblent pour amener Jack à la Maison blanche, mais leur passé difficile dévoile un plus grand problème. « Les gens parlent de la malédiction qui semble se transmettre de génération en génération chez les Kennedys et dans une certaine mesure, c’est vrai, » dit Tom Wilkinson. « Et si on regarde ça comme une tragédie grecque, il n’y a pas de meilleure figure patriarcale que Joe Kennedy parce que sa vision du monde était extrême. Sa vision du monde était : ambition, argent et famille. C’est d’une simplicité presque moyenâgeuse… mais presque tout le reste est tombé à l’eau. » -Tom Wilkinson
	Épisode 2 L’élection présidentielle en arrive au tout dernier moment; Bobby dit à Joe qu’il quitte la politique. « John F. Kennedy était une personne complexe qui signifiait beaucoup de choses pour beaucoup de personnes différentes. J’ai ma propre interprétation de qui il était et quel était son héritage. Kennedy a été Président des États-Unis durant une période extraordinaire et nous a apporté de remarquables changements sociaux et politiques en peu de temps, en 1 000 jours. Il a donné à ce pays une détermination et un enthousiasme dont on avait vraiment besoin à ce moment-là. » – Greg Kinnear
	Épisode 3 *Quand l’invasion de la baie des Cochons s’avère désastreuse, JFK prend une décision difficile qu’il a dû racheter plus tard.* « Pendant sa Présidence, John F. Kennedy a changé l’image des États-Unis. Les gens autour du monde se souviennent de cette période et se souviennent du temps où l’Amérique était le phare de la liberté et de la démocratie, si bien représenté par Kennedy à ce moment-là. » – Executive Producer Michael Prupas
	Épisode 4 *Les Russes élèvent un mur séparant l’Est et l’Ouest de Berlin, pendant que Bobby se prépare à poursuivre Sam Giancana.* « Du point de vue des thèmes qu’on recherche quand on commence une histoire, cette minisérie obtient un 10/10 : ambition, jalousie, trahison, loyauté, famille, tragédie… C’est shakespearien, c’est une tragédie grecque. » – Executive Producer Joel Surnow
	Épisode 5 *Des émeutes au sujet de la déségrégation dans le Sud forcent JFK à prendre action ; Jackie continue à prendre des amphétamines ; Joe, père, est victime d’un AVC.* « Jack et Jackie Kennedy étaient vraiment le roi et la reine de l’Amérique à ce temps-là. Ils étaient considérés comme la royauté d’Amérique parce qu’ils l’étaient … Mais aussi beaux, aussi détendus et sans problèmes qu’ils paraissaient, ces apparences cachaient toujours une zone encore plus troublée. » – Director Jon Cassar
	Épisode 6 *La Crise des missiles de Cuba a amené l’Amérique et la Russie à deux doigts d’une guerre ; Jackie quitte JFK après une infidélité de trop.* « La contribution durable de Jack et Bobby Kennedy fut de résoudre la crise politique en versant le moins de sang possible… Nous n’avons pas eu de guerre avec l’Union soviétique. Si cette crise n’avait pas été manœuvrée comme elle l’a été, nous ne serions plus là. Cette planète serait morte. Tout le reste devient dérisoire en comparaison de ça. » – Writer Stephen Kronish
	Épisode 7 *Jack et Jackie ont souffert de la perte de leur enfant nouveau-né ; elle et JFK sont à Dallas le jour fatidique en novembre.* « Tout au long des huit épisodes, se développe leur histoire d’amour. Dans l’épisode sept [après la mort de leur bébé], ils commençaient vraiment à se rapprocher. Ils ont eu des hauts et des bas et au moment où on croit qu’ils peuvent enfin vivre heureux, la catastrophe arrive. » – Director Jon Cassar
	Épisode 8 *Bobby se sent responsable de la mort de son frère. Cinq ans plus tard, la tragédie frappe encore.* « J’admire Robert Kennedy parce qu’il a eu le courage de rester pendant une période extrêmement explosive et difficile en Amérique, sachant parfaitement bien ce qui pouvait lui arriver. RFK a vécu et est mort comme un défendeur passionné de la paix, de la justice et de l’égalité et il a crû à la compassion envers les autres êtres humains, non seulement aux États-Unis, mais partout dans le monde. Je crois qu’il aurait fait un extraordinaire Président. Maintenant, plus que jamais, le monde a besoin d’hommes de la trempe de Robert Kennedy. » – Barry Pepper